Mon été avec… Kurokawa.
Manga / Critique - écrit par OuRs256, le 15/09/2014L’idée : Vous parler de ce que j’ai lu cet été de manière rapide et concise mais aussi de vous donner quelques guides pour vos lectures à venir tout en discernant coup de cœur et coup de gueule. Trois rubriques (je les assume et vous pouvez dire que je n’ai absolument aucune créativité en termes de nomenclature): le très bon, le « mleh » et le très pas bon.
L’été, dans la croyance populaire, c’est avant tout une période de relaxation. Pour tous ceux qui fréquentent le milieu du manga, c’est surtout Japan Expo début juillet qui pompe un maximum d’énergie. Eh oui, même si vous avez déjà eu quelques articles sur Krinein, c’est loin d’être fini et de nombreuses interviews devraient faire leurs apparitions dans les mois qui viennent. En attendant, il faut quand même un endroit pour parler des lectures d’été. Eh oui, même si votre serviteur s’est un peu baladé sur la Route 66 (à peine trois semaines, ne me jugez pas !), j’ai quand même pris le temps de lire ma petite dose de manga. Pour les séries terminées et courtes, vous aurez, comme d’habitude, le droit à une critique complète mais pour les tomes, j’ai pensé qu’il était plus intelligent (mais aussi économique, pratique) de faire un petit article spécial été par éditeur (ceux qui diront que c’est juste pour rattraper le retard faramineux accumulé pendant que je me la coulais douce sur les routes américaines sont de fieffés menteurs !!!). Bon allez, on attaque tout de suite avec la première rubrique.
Le très bon.
Ici, vous n’aurez que la crème de la crème ou du moins ce qui m’a bien fait vibrer et que j’estime nécessaire à votre vie de mangaphile.
Chez Kurokawa, mon coup de cœur, c’est le retour du manga Pokemon – La Grande aventure. Difficile de passer à côté mais surtout, ne faites pas l’erreur de zapper ce titre. Alors oui, il a ses défauts (comme une évolution beaucoup trop rapide à mon goût des monstres de poches ou encore un rythme trop haché dans la narration) mais le pavé pondu par l’éditeur (on approche des 510 pages) vaut le coup d’œil. Suivre les aventures de Rouge s’avère être plus surprenant que prévu (si vous pensiez que les auteurs se contentaient de suivre les jeux, vous vous êtes fait avoir vous aussi) et on retrouve dans des personnages clés du monde Pokémon dans des rôles qu’on ne leur aurait pas forcément attribué en premier lieu. L’insistance sur le lien pokémon/dresseur est la même que dans les jeux éponymes. C'est-à-dire qu’ils en remettent une couche toutes les trois pages mais ça, c’est du Pokémon tout craché ; on aime ou on déteste ! Avec une traduction adaptée comme seules les éditions Kurokawa savent le faire (et j’insist sur ce point), la lecture n’en est que plus agréable et ce, malgré l’âge de celui qui se trouve à tourner les pages… du beau boulot !
Impossible de ne pas profiter de la fin de la série phare d’Atsushi Ohkubo pour la remettre à l’honneur. Eh oui, à notre grand regret à tous, Soul Eater tire sa révérence et c’est avec le cœur serré que l’on lit son dernier chapitre, chose que l’auteur avait anticipé car il n’hésite pas à balancer une dose non négligeable d’humour dans les dernières pages. C’est à croire que lui aussi n’était pas plus motivé que ça à finir son manga et qu’il a dû se rassurer lui-même. La conclusion n’est pas mauvaise en elle-même et on sent cette volonté du mangaka à ne rien laisser en suspend après un combat final qui nous en aura mis plein les mirettes. Pour moi, cette fin réunit bien tout ce que Soul Eater représentait : un concentré d’action, de l’humour mais aussi des personnages poignants et singuliers. Ohkubo n’a pas à rougir de son œuvre et il peut se targuer d’avoir réussi à me faire aimer une série en cours de route (le début ne reste pas dans mon cœur, même aujourd’hui) : un exploit ! N’oubliez pas non plus d’aller jeter un œil à la critique réalisée par juro à l’époque sur Krinein !
Dans la crème, il y a du lait et qui dit lait dit vache. Vous voyez ou je veux en venir ? Non, toujours pas ? Qui dit vache dit bien évidemment Hiromu Arakawa ! Avec le tome sept de Silver Spoon et le deuxième opus de Nobles Paysans, l’auteure était bien représentée chez Kurokawa cet été. On pourrait presque dire que les deux séries sont complémentaires de par le thème abordé mais aussi parce que Nobles Paysans pourrait presque être considéré comme les « dessous » de Silver Spoon. L’auteure, (noble) « paysanne » de naissance nous raconte son enfance presque surnaturelle (même si romancée) en employant le ton débridé dont elle a le secret. Si on s’amuse à comparer son père à elle et celui de Yûgo, on remarque une perception des deux univers (citadin et champêtre) diamétralement opposé. D’un homme au sourire chaud, un peu bourru mais gentil et bienveillant à la campagne, on passe à un individu sérieux, impassible et incapable de comprendre les sentiments de son fils en ville ; autant dire que ça ne donne pas particulièrement envie… La position de la mère est assez intéressante aussi dans la mesure où Arakawa répète en permanence que chez elle, c’est sa mère qui possédait le pouvoir décisionnel et qu’il était impossible de ne pas lui obéir alors qu’on sent que ce pouvoir appartient plutôt au père de famille chez les Hachiken. Petite différence cependant, les deux fils ont décidé de ne pas vraiment obéir à leur père et de quitter la maison, chose qui n’a même pas l’air envisageable dans l’esprit d’Arakawa. Au final, je l’ai déjà dit plusieurs fois et je le redis encore : Arakawa, c’est la vie !
Le « Mleh ».
Derrière ce nom un peu barbare se cache (vous l’aurez sûrement deviné) le moyen et tout ce qui ne m’a pas particulièrement titillé même si la lecture n’était pas mauvaise.
Pour commencer les « mleh », j’ai bien envie de parler de ma lecture coquine du mois chez Kurokawa, à savoir le neuvième volume de Nozokiana, volume qui aurait très facilement pu se trouver dans le « très bon ». Le secret d’Emiru et de Kido se trouvait malmené par la plantureuse Rie qui n’hésitait pas à les menacer de tout révéler à leur cercle d’amis et c’est pour ça que nos deux héros vont chercher une porte de sortie. Attiré l’un par l’autre de manière honteusement évidente, on se demande encore pourquoi l’auteur n’a pas profité de cette occasion pour réunir ses deux protagonistes et c’est principalement pour cette raison que j’ai mis ce tome ici. Alors qu’il ne reste que quatre tomes avant la fin, on assiste à un retournement de situation pas forcément nécessaire et prévisible (même si mis en scène de manière assez sympathique, je dois l’avouer). Le méchant montre qu’il n’est pas si méchant que ça et tout le monde semble aimer tout le monde même si dans les faits, ils se regardent en train de faire des galipettes (j’ai jamais dit que c’était simple Nozokiana...). Même s’il ne semble pas décidé à abandonner Emiru, il semble que Kido aurait beaucoup à faire avant de pouvoir comprendre la jeune fille…
On avait laissé Aladin en plein Magnostadt, à l’académie des magiciens, pourqu’il fasse ses armes. Le jeune magi est devenu bien plus fort qu’avant et maîtrise une pléthore de nouveaux sortilèges. Avec son expérience du combat, il se classe même parmi les meilleurs éléments de l’académie même si un autre prodige nommé Titos lui barre la route. Les deux vont rapidement faire connaissance et comprendre qu’ils partagent des intérêts communs. Cette nouvelle amitié n’est pas sans rappeler la relation qu’il entretenait avec Ali Baba dans la mesure où Titos a besoin d’un certain cadre et surtout d'un guide pour pouvoir évoluer correctement (il passe du statut « entouré par des groupies » à « entouré par des amis », c’est quand même pas mal, non ?). Là où j’ai été un peu déçu, c’est par le côté un peu « redif’ » de la condition du pays qui fait quand même beaucoup penser à la cité en proie à un gouvernement oppresseur où Qasim s’était révolté un peu plus tôt dans l’aventure. Alors oui, la mayonnaise prend grâce à l’inclusion des magiciens pour pimenter un peu tout ça. Avec ce seizième tome de Magi – The Labyrinth of Magic, Shinobu Ohtaka continue donc à développer son univers en allant aux origines de la magie, peut-être même qu’on aura bientôt quelques informations supplémentaires sur les magi tiens !
Petit passage très rapide sur le dixième (et dernier) volume de The Civilization Blaster. Chose assez originale, les auteurs ont terminé l’histoire principale en neuf volumes et ont décidé d’en garder un complet pour des histoires annexes. Alors dans l’idée, c’est juste génial mais dans l’exécution, c’est à la limite du mauvais. Sur les six histoires que compte le volume, il n’y en a guère que deux qui attireront vraiment l’attention du lecteur non-accro à la série (les fans par contre, vous allez vous régaler). Rien de plus à dire sur ce petit (comparé aux autres de la série) opus qui ne restera pas forcément dans les mémoires mais qui a le mérite de fournir un épilogue à la série dont la critique complète ne devrait plus tarder à arriver sur Krinein.
Après un premier volume qui m’avait bien plu, Crimson Wolf est de retour pour mieux nous embrouiller ! Alors que l’histoire était déjà bien compliquée dans le premier tome, l’auteur en rajoute une couche et continue dans son délire. Le problème, c’est qu’en tant que lecteur, ce n’est pas facile de le suivre. Son concept de loup et d’agneau est vraiment bien utilisé et il pousse même le vis jusqu’à introduire le petit chaperon rouge dans l’histoire. D’ici à ce qu’on voit débarquer la mère et le chasseur, il n’y a qu’un pas ! Pour le reste, on ne peut pas enlever certaines qualités indéniables à la série : son dessin et en particulier le design des loups que je trouve vraiment monstrueux dans leur difformité (mais Seishi Kishimoto a un vrai talent pour ça) mais aussi le travail sur l’héroïne (design et background) qui marche plutôt bien. Je me demande si l’auteur va réussir à bien gérer les deux volumes qu’il lui reste pour nous pondre un résultat à la hauteur de nos espérances.
D’habitude, j’aurais plutôt mis Kenichi dans le « très bon » mais je dois avouer qu’il manque quelque chose à ce cinquième tome de la deuxième saison. Il démarre pourtant avec brio en réintroduisant un personnage de qualité (Renka Ba, la fille du maître des arts martiaux chinois de Kenichi) mais le développement qui suit reste assez traditionnel (un peu trop dira-t-on) même si la toute fin laisse espérer pas mal de combats dans un prochain volume qui devrait faire évoluer un peu l’histoire, chose qui, selon moi, pêche le plus dans Kenichi ; ça avance beaucoup trop lentement. C’est d’ailleurs un paradoxe selon moi : comment une série où tous les personnages sont aussi « speed » réussit-elle à avancer si lentement ? Bon ce n’est pas particulièrement désagréable puisque ce rythme nous permet de bien voir l’évolution du disciple en détail mais quand même, un petit coup d’accélérateur ne serait pas de refus !
J’enchaîne avec le sixième tome de Saint Seiya The Lost Canvas Gaiden. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’à l’inverse de Kenichi, ce qui lui a manqué pour figurer dans le « très bon », c’est un peu de lenteur ! C’est la même impression depuis quelques volumes mais les aventures de chaque chevalier d’or sont traitées très rapidement. Pour le coup, l’histoire de Dôko est plutôt pas mal, avec une bonne dose de mystère mais aussi de nouveaux personnages qui ont l’air de se défendre (même s’ils se font rétamer en quatre cases – non, ne partez pas, ce n’est pas un yonkoma !). J’ai même eu l’impression que Teshirogi a voulu faire un peu d’humour en introduisant un chevalier du moineau qui piaille comme c’est pas permis (chevalier que j’ai vu pour la première fois vers une heure du matin, heure à laquelle un oiseau a décidé de s’éclater la tête contre ma vitre – true story). Les fans seront toujours heureux de retrouver Dôko ainsi qu’un invité inattendu avec un rôle pas si capital qu’on aurait pu le croire. Bref, à part ce petit défaut de narration trop rapide, c’est du tout bon !
On termine le « Mleh » avec un shôjo qui n’en finit pas de me surprendre puisqu’il s’agit de Wolf Girl & Black Prince. La série d’Ayuko Hatta en arrive à son troisième tome et continue sur sa bonne lancée avec des histoires mignonnes mais qui ne cherchent jamais à trop en faire. De plus, l’auteure semble décidée à ne pas laisser ses personnages s’embourber dans une relation qui ne leur conviendra pas à tous les deux. C’est ainsi que la fin du volume amorce un futur plus qu’incertain pour les deux tourtereaux. Là où je suis mois d’accord, c’est que la « fin du volume » se trouve à la page 131. Alors oui, le livre en lui-même en comporte bien 180 (et des poussières) mais la série régulière s’arrête pour que l’auteur puisse publier une nouvelle (un peu comme dans les deux précédents). Je n’ai rien contre les nouvelles (peu importe le genre) mais je dois avouer que je ne suis pas fan du tout de ces volumes tronqués pour pouvoir publier autre chose et c’est d’ailleurs la seule raison pour lesquelles le titre ne se retrouve pas dans le « très bon ». Quand j’achète Wolf Girl and Black Prince, je veux lire cette série pendant au moins 165-170 pages sur 180 (si elle veut nous mettre un petit extra d’une dizaine de pages, soit mais presque 50 et à chaque volume, ça devient ridicule ! En espérant avoir un volume complet de cette très bonne série la prochaine fois, je vous conseille une fois de plus d’y jeter un œil.
Le très pas bon.
Alors oui, je sais que le nom annonce quelque chose de très mauvais mais ce n’est évidemment pas à prendre au premier degré. Ce sont surtout les titres qui m’ont déçu et dont les tomes n’ont pas spécialement fait avancer l’intrigue.
Je vais terminer avec ma grosse déception de cet été, le troisième tome d’un spin-of d’une série qui s’est terminée cet été… Je veux bien sûr parler de Soul Eater Not!. Impossible, inconcevable… Fou ? Les mots me manquent pour qualifier cette série qui vient pourtant du même esprit qui nous a donné Soul Eater… Je ne sais pas comment Ohkubo s’est décidé sur la marche à suivre pour ces chapitres mais il y a un vrai problème. Alors qu’on avait un semblant de fil rouge dans le deuxième volume avec une histoire qui commençait à ressembler à quelque chose mais là, on a le droit à un enchaînement de petits chapitres sur le quotidien totalement inintéressant de Tsugumi et ses deux copines cruches. Alors oui, c’est beaucoup plus léger qu’un combat contre le grand dévoreur mais c’est d’un ennui… Ce troisième tome le confirme, Soul Eater Not! s’adresse clairement à un public totalement différent de celui de sa série mère. D’ailleurs, je crois que l’on a rarement vu un auteur aussi honnête puisqu’il le dit clairement et en gros sur la couverture de chaque tome : ce n’est PAS Soul Eater. Message reçu trois sur cinq…
En fan de Blood Lad, j’attendais son spin-of Bloody Brat avec une certaine impatience mais voilà que la malédiction Kurokawa sur les séries dérivées a encore frappé. Présenté comme un yonkoma (manga en quatre cases, très souvent à vocation humoristique, l’éditeur a notamment publié l’excellent Azumanga Daioh qui est un parfait exemple du genre) comportant quelques histoires un peu plus longues, de quelques pages seulement, on ne retrouve absolument pas l’esprit de la série de Yuki Kodama. On s’en doutait un peu vu le public ciblé par la série de base mais l’humour développé dans ce oneshot est très axé culotte/pipi/caca/zizi/prout, ce qui ne me dérange pas vraiment en règle générale quand c’est bien amené mais là, c’est quand même du gros gag standard pas subtil du tout. Bref, dit autrement, c’est pas drôle. Même si le dessinateur s’en sort plutôt bien pour singer les personnages de Kodama, il ne parvient pas vraiment à leur insuffler la même vie et ça se ressent très vite… Un tome à oublier en quatre cases.
Avec la fin du sixième tome et les nombreuses allusions à un futur plus sombre et des moments plus difficiles, on attendait vraiment un changement d’ambiance dans ce septième opus de Je t’Aime Suzuki!! mais force est de constater qu’il n’en est rien. La première explication, c’est peut-être que le collège n’est pas terminé et que Go Ikeyamada a préféré attendre un peu avant de lancer sa période lycée (ce qu’elle fait vers la fin du volume). La seconde, c’est qu’en fait, tout ne sera pas si sombre qu’on veut bien nous laisser l’entendre. En tant que l’une des rares séries shôjo que je prends plaisir à suivre, je me suis senti presque trahi (d’où sa présence dans le « très pas bon ») et j’ose espérer que l’auteur a vraiment quelque chose de bon en stock pour les lecteurs parce que pour le moment, à part du robinet qui fuit (comprenez des gamines qui pleurent) et des fausses promesses, on n’a pas vu grand-chose de bon dans les derniers chapitres, dommage !
Il est des séries qui possèdent une qualité qui varie en dents de scie. Ce quatrième volume de PureBlood Boyfriend semble indiquer que c’est le cas ici aussi malheureusement. Après un troisième volume qui finissait bien de planter le décor avec une chasse aux stigma qui s’annonçait plutôt mouvementée pour notre héroïne, l’auteure revient à de la comédie romantique de lycée tout ce qu’il y a de plus banal (et ce malgré le côté Twilight avec le vampire et le loup-garou…). Elle tente de redynamiser le tout avec l’apparition de nouveaux ennemis qui n’ont pas l’air bien méchants (ils finissent même par boire le thé avec Aki et Kana…). On va donc oublier ce volume plus que bof et repartir de zéro avec le cinquième au mois d’août.
Les résumés éditeurs (par ordre d’apparition).
Il ne serait pas très logique de vous laisser partir sans les résumés éditeurs. Pas la peine de tout lire, il suffit de piocher dans ce qui vous intéresse !
Pokémon – La Grande aventure 1 : Rouge est un jeune garçon plein d'ambition et de fougue. Sa plus grande fierté: être considéré comme le meilleur Dresseur de Pokémon des environs de Bourg Palette ! Le Professeur Chen va le convaincre de partir à la découverte de nouveaux Pokémon pour compléter l'encyclopédie les répertoriant: le fameux Pokédex ! Rejoignez Rouge dans sa quête et découvrez la grande aventure par laquelle tout a commencé !
Soul Eater 25 (fin) : Une âme saine repose dans un corps sain et un esprit sain. Mais pour que ce monde conserve son équilibre, ce cercle vertueux doit être contrebalancé par une folie sombre, profonde, inextricable. Découvrez le combat final contre le grand dévoreur dans un dernier tome virtuose qui ébranlera toutes vos idées préconçues.
Silver Spoon 7 : Alors que la fête de l'école bat son plein, Yûgo se retrouve face à face avec son père. Yûgo arrivera-t-il à lui prouver que sa décision d'entrer au lycée agricole Ohezo était la bonne ? Comment pourra-t-il faire face à Aki après la prise de conscience de cette dernière ? Mais tout n'est pas noir dans la vie de Yûgo et de ses camarades car l'équipe de baseball de l'école enchaîne les victoires. Une compétition décisive qui risque bien de faire basculer le destin des participants !
Nobles Paysans 2 : Fullmetal Alchemist, Hero Tales, Silver Spoon, autant de mangas cultes issus de l'imagination fertile de Hiromu Arakawa. Mais saviez-vous qu'avant de devenir la talentueuse mangaka que nous connaissons tous, elle avait passé sept ans à travailler au sein de la ferme familiale ? Avec Nobles Paysans, embarquez pour le nord du Japon, sur l'île de Hokkaïdo, à la découverte de la ferme Arakawa et de ses habitants hauts en couleur.
Nozokiana 9 : Soumis au chantage de Rie, qui menace de révéler l'existence du trou à Madoka, Tatsuhiko hésite. Mais Emiru, elle, est prête à tout pour préserver le secret de leurs jeux d'espions. Avant de boucher le trou dans leur cloison commune, la jeune femme se livre un peu plus à Tatsuhiko. Touché par sa beauté, le jeune homme vacille une nouvelle fois. L'heure est pourtant à la trahison. Quand Madoka découvre la vérité, elle s'en prend violemment à sa rivale...
Magi 16 : Aladin fait brillamment preuve de ses compétences et accède à la catégorie supérieure de l'académie. Il rencontre alors Titos, sorcier de génie reconnu pour sa puissance encore supérieure à celle d'Aladin. Ou mènera la rencontre des deux surdoués ?!
The Civilization Blaster 10 (fin) : La rencontre entre Mahiro et Mimori narrée dans « Récit de ma rencontre avec ma nouvelle copine ». Celle entre Fräulein Yamamoto et Hayakawa durant leur jeunesse dévoilée dans «Le chat botté». La continuité de l'histoire principale, avec Hakaze tentant de résoudre une mystérieuse affaire de meurtre dans une chambre totalement close l'est dans le chapitre «Mademoiselle Ribe du resto familial». Le quotidien de Samon dans « Samon au jour le jour ». Les étranges histoires de la copine de Hanemura, Yucchan, dans « la femme qui guette ». Et enfin le dernier chapitre «Chute de rideau – Main dans la main» pour un total de six histoires inédites pour ce dernier tome !!
Crimson Wolf 2 : Le loup de Hibari, l'ami d'enfance de Yôichi a été découvert sous la lune rouge par Yûka et Masato. Lancés à son secours, quelle dure et triste vérité vont constater Yôichi et Ayame ? Reliant les cauchemars à la réalité « La guerre sanglante des Chaperons Rouges » entraînera Yôichi vers un inexorable destin. Quand les secrètes intentions des humains les transforment en bêtes féroces prêtes à l'attaque !
Kenichi Saison 2 5 : Ken-Ichi et Apachaï se rendent dans le quartier chinois de Yokohama sur la demande de Renka, la fille de Maître Ba ! Ken-Ichi va y retrouver trois anciens adversaires du tournoi du DDD, mais surtout la dynamique Renka, aux prises avec un tueur de la secte « Tigre Noir et Dragon Blanc » !
Saint Seiya The Lost Canvas Gaiden 6 : Il s'est écoulé quelques années depuis la fin de la Guerre Sainte et Dôko continue de méditer sur les montagnes des Cinq Vieux Pics lorsque des émissaires viennent l'assassiner. Dôko a du mal à contenir sa surprise lorsqu'il voit qu'un des émissaires ressemble à Tenma, le Chevalier Pégase, comme deux gouttes d'eau. Dôko va alors se rendre dans une cité légendaire afin de démasquer la véritable identité de cette mystérieuse menace.
Wolf Girl & Black Prince 3 : Erika est remotivée depuis que Kyôya lui a offert un collier pour Noël. Mais elle se sent un peu délaissée pendant les vacances d'hiver car elle ne reçoit aucune nouvelle de lui.
Arrive enfin la rentrée? Erika est très heureuse de retrouver Sata, mais sa joie est de courte durée car elle obtient de mauvaises notes à ses examens. Le redoublement menace. Sata ne peut pas la laisser ainsi et l'invite chez lui pour l'aider à réviser. Erika est extrêmement nerveuse car elle espère une récompense surprise, mais?
Soul Eater Not! 3 : Tsugumi poursuit son apprentissage au sein de la section NOT de Shibusen accompagnée de ses deux amies Anya et Mémé. L'apprentissage des règles de vie au sein de Shibusen n'est pas chose facile et les manigances des sorcières n'arrangent pas les choses.
Bloody Brat : Entre les secrets de cuisine du café Third Eye, Staz qui est aux abonnés absents alors qu'une bande de voyous est venue faire main basse sur son territoire, Liz qui se prend pour le Petit Chaperon rouge, Fuyumi qui se balade en petite culotte, Bell qui fait un reportage sur le Palais des démons, ou encore un affrontement au bowling entre Wolf et Staz, vous allez voir les vampires et les autres créatures du monde des démons comme vous ne les avez encore jamais vus !!
Je t’Aime Suzuki!! 7 : Alors que Hikaru et Sayaka filent le parfait amour, la jeune fille doit quitter la région. Afin de lui redonner le sourire, Hikaru propose une sortie à la mer. Leur histoire prend alors un tour passionné, qui les submerge totalement? La tristesse revient vite hanter Sayaka qui, lors de sa dernière représentation au collège, perd totalement pied. Heureusement, la présence de Hikaru la sauve in-extremis. Mais le déménagement de la jeune fille approche et au moment de se quitter, les deux amoureux se jurent de se retrouver très vite, et cette fois, de ne plus se quitter. Deux ans plus tard, leur amour est-il encore intact ?
PureBlood Boyfriend 4 : Les anges Isuka et Hitaki dévoilent rapidement leur véritable intention : l'exécution du vampire au sang pur Aki. Kana décide de le protéger coûte que coûte en s'interposant entre lui et l'épée sacrée, et y parvient grâce à un miracle. De retour à leur quotidien, Aki, Kana et Jin poursuivent leur mission d'aide aux clubs du lycée, et notamment le club de théâtre qui recherche des acteurs. Et celui-ci semble les mener sur la piste d'un nouveau possesseur de Stigma...