Dragon Ball Perfect Edition T.20
Manga / Critique - écrit par OuRs256, le 17/09/2012 (Tags : dragon ball tome edition perfect toriyama akira
Le "mignon" FreezerAprès s'être débarrassé de trois soldats du commando Ginyu, Goku affronte leur chef, le capitaine Ginyu en personne. Goku s'est entraîné dans son vaisseau spatial sous une gravité cent fois plus lourde que sur Terre et grâce au Kaioken, il prend facilement l'avantage sur son adversaire. Conscient d'être dans une impasse, Ginyu se blesse volontairement avant de sortir sa botte secrète : le Body Change. Il compte ainsi s'emparer du corps de Goku en même temps que de sa puissance… tandis que Goku se retrouve dans un corps affaibli. Pendant ce temps, Freezer essaye d'extirper la formule magique pour faire apparaître le dragon de la bouche des derniers namecs encore en vie. Pour cela, il va devoir se battre contre Nail. Il ne sait pas que ceci est une diversion pour permettre à Dendé d'aller invoquer le dragon avec Gohan et Krilin mais rien ne dit qu'il arrivera avant que Freezer ne s'aperçoive de la supercherie...
Le combat contre la montre continue pour nos héros qui cherchent à empêcher Freezer d'utiliser les boules de cristal, mais aussi pour Freezer qui doit utiliser lesdites boules avant que le chef des namecs ne rendent l'âme. Toujours pas de fioritures puisque Toriyama va droit au but (il doit être marseillais !) et donne un rythme vraiment sympathique alternant combats effrénés et course contre le temps. Mention spéciale à l'apparition du dragon. Polunga est quand même trois cents fois plus classe que Shenron et les différences "d'utilisation" et dans la formulation des souhaits (oui, oui, DES) évite l'effet de déjà-vu.
On devrait bientôt voir les super guerriers faire leur apparition. Krilin est encore là et Freezer n'a pas encore dévoilé toutes ses transformations. Par contre, les puissances commencent à devenir démesurées et même Goku n'est pas sûr de sa réussite face à Freezer...
Cette édition perfect de Dragon Ball est quand même magnifique. Que ce soit au niveau de l'ouvrage, de la nouvelle traduction et des pages couleurs, rien n'est laissé au hasard par Glénat et je doute qu'une meilleure édition puisse voir le jour pour ce monument de la culture japonaise.